Publicité
La bourse ferme dans 33 min
  • CAC 40

    8 022,51
    -0,75 (-0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,93
    -17,64 (-0,36 %)
     
  • Dow Jones

    37 941,67
    +166,29 (+0,44 %)
     
  • EUR/USD

    1,0673
    +0,0027 (+0,26 %)
     
  • Gold future

    2 406,40
    +8,40 (+0,35 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 469,75
    +887,33 (+1,49 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 370,27
    +57,65 (+4,60 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,07
    +0,34 (+0,41 %)
     
  • DAX

    17 729,43
    -107,97 (-0,61 %)
     
  • FTSE 100

    7 878,38
    +1,33 (+0,02 %)
     
  • Nasdaq

    15 472,69
    -128,81 (-0,83 %)
     
  • S&P 500

    4 999,52
    -11,60 (-0,23 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2434
    -0,0004 (-0,03 %)
     

Quinze ans après avoir acheté un mobil-home, le camping leur demande de quitter les lieux

L'aventure avait pourtant bien commencé pour Marie Christine et Jean-Pierre. En 2007, le couple originaire de la région lyonnaise achète un mobil-home au camping Capfun La Régnière, à Villette-d’Anthon (Isère). Une résidence secondaire dans laquelle ils souhaitaient passer leur retraite. Mais 15 ans plus tard, leurs plans sont chamboulés. Comme le relate Actu Lyon, le couple a été prié de quitter le camping, tout en laissant son mobil-home, acquis 65.000 euros, derrière lui.

En septembre 2020, "on découvre un courrier scotché sur la porte de notre mobil-home. Capfun nous explique arrêter son activité résidentielle de façon cavalière", raconte la quinquagénaire, salariée dans un grand groupe de pharmaceutique. Paniqué, le couple se renseigne et découvre ne pas être seul dans cette position. Marie-Christine prend alors la présidence d'un collectif de propriétaires, sommés de quitter les lieux.

D'ici fin 2022, tous devront avoir fait leurs bagages, en laissant leur mobil-home derrière eux. Ce qu'ils refusent catégoriquement. "Le groupe nous propose que des brocanteurs rachètent le bien, on nous donnerait seulement 3.000 euros", indique la quinquagénaire, qui pointe par ailleurs des hausses de charges "en toute impunité" de la part de Capfun. "En six ans, on a dû subir des hausses de 9% chaque année. Au total, ça fait une hausse de nos charges de loyer [pour l’occupation du terrain] de 43% ! Et cette année, c’est +50% ! On paie 4.800 euros par an pour une toute petite parcelle de terrain", (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Une box Orange à moins de 20 euros : décrochez une offre internet exclusive avec Capital
La politique du "quoi qu'il en coûte" a permis de stabiliser le taux de pauvreté en 2020
Personnels, équipements… comment les communes dépensent l’argent public
Le démarchage téléphonique va-t-il enfin être encadré ?
Remboursement d’impôt sur le revenu : quand allez-vous le recevoir ?