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Ce qu'il faut retenir de la cérémonie du Ballon d'or

so foot

À la surprise générale (non), Leo Messi a soulevé son huitième Ballon d'or ce lundi. Aitana Bonmatí, elle, succède à sa compatriote Alexia Putellas au palmarès du trophée féminin. Mais finalement, que retenir de cette longue cérémonie ?

L’adieu de la soirée : Leo Messi

« Messi is infinity. » La formule est absolue, et cache surtout une réalité : la Pulga, vainqueur de son huitième Ballon d’or, vient sans doute de grimper sur le toit du football mondial pour la dernière fois de sa carrière. Son discours, son attitude et celle de la salle allaient d’ailleurs dans ce sens, à l’image de ses rejetons qui ont pris leurs aises lors de la cérémonie, comme pour profiter une dernière fois du beau tapis parisien. Le joueur de l’Inter Miami, face à un public pas vraiment emballé (le 18 décembre, c’était hier), a eu un mot pour le « D10S » Diego Maradona (qui aurait eu 63 ans ce lundi), et a bien pris soin de ne pas mentionner le club qu’il a quitté l’été dernier. Allez bye !


L’affront de la soirée : Emiliano Martínez

Emiliano Martínez a privé la France d’un deuxième sacre consécutif en Coupe du monde, avec son arrêt inouï face à Randal Kolo Muani à la 123e minute de la finale, et ses diableries lors de la séance de tirs au but. Le gardien argentin a passé les célébrations de la victoire en Argentine à se payer – et c’est un euphémisme – la France, ses joueurs, et spécifiquement Kylian Mbappé. Mais l’humiliation n’était pas encore totale. Ce lundi, Dibu a conclu son Grand Chelem en venant recevoir, dans la capitale française, le trophée de meilleur gardien de la saison, sous l’œil acerbe du Kyks (et de RKM) et les huées du théâtre du Châtelet. La salle a tellement grondé que Didier Drogba a même dû calmer l’assistance pour que Martínez, plein d’émotion en présence de son paternel, puisse terminer son discours. Le constat de la soirée est cruel : le meilleur gardien du monde est un joueur de Ligue Europa Conférence.…

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