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Qu'est-ce qu'un masque alternatif, ou "grand public"?

© Sipa

Si le gouvernement estimait que le port du masque était inutile pour lutter contre le coronavirus , il a depuis changé de position. Dès le mois d'avril, le Pr Jérôme Salomon encourageait le grand public à "porter des masques alternatifs" pour se protéger de l'épidémie. Pourquoi "alternatifs"? Par opposition aux masques FFP2 ou chirurgicaux, à réserver impérativement aux soignants.

Lire aussi - Masques : de l'utile à l'accessoire

Il s'agit donc de masques en tissu, ou autres matières, réservés d'habitude à filtrer la pollution ou les poussières pendant le bricolage. "Ce ne sont pas des masques à visée médicale, mais plutôt des écrans antipostillons pour le grand public", explique le pneumologue Nicolas Hutt à l'AFP, en préconisant leur utilisation "dans toutes les zones où les mesures de distanciation ne sont pas correctement respectées, comme les commerces".

Différents types de masques alternatifs

L'Agence nationale de sécurité du médicament distingue deux types de masques alternatifs :

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Les catégories 1 sont destinés aux "professionnels en contact avec le public", les caissiers par exemple. Ils filtrent 90 à 95% des particules de 3 microns, c'est-à-dire des gouttelettes émises par un individu. Les catégories 2 ont vocation à être utilisés par les autres travailleurs et le grand public. Ils filtrer 70 à 80% des particules de 3 microns.

Comment vérifier leur qualité? Le ministère de l'Economie a dévoilé quatre logos qui devront figurer sur l'emballage : ils certifient qu...


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