Publicité
La bourse ferme dans 7 h 4 min
  • CAC 40

    7 963,86
    -59,40 (-0,74 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 893,43
    -43,14 (-0,87 %)
     
  • Dow Jones

    37 775,38
    +22,07 (+0,06 %)
     
  • EUR/USD

    1,0646
    0,0000 (-0,00 %)
     
  • Gold future

    2 397,70
    -0,30 (-0,01 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 986,79
    +3 697,85 (+6,45 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 338,48
    +25,85 (+1,97 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,03
    +0,30 (+0,36 %)
     
  • DAX

    17 665,80
    -171,60 (-0,96 %)
     
  • FTSE 100

    7 825,99
    -51,06 (-0,65 %)
     
  • Nasdaq

    15 601,50
    -81,87 (-0,52 %)
     
  • S&P 500

    5 011,12
    -11,09 (-0,22 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2438
    -0,0000 (-0,00 %)
     

Qatar Airways veut une consommation réduite pour l'A380neo

La compagnie aérienne qatarie Qatar Airways a discuté avec Airbus de ses attentes pour un futur A380neo. /Photo prise le 22 décembre 2014/REUTERS/Régis Duvignau

DUBAI (Reuters) - Qatar Airways a discuté avec Airbus de ses attentes pour un futur A380neo, a déclaré mercredi le directeur général de la compagnie aérienne qatarie, Akbar Al Baker.

Pour le patron de Qatar Airways, la question de la consommation de carburant est cruciale pour un éventuel A380neo ("new engine option"), version remotorisée du très gros porteur du constructeur aéronautique, filiale du groupe d'aérospatiale et de défense Airbus Group.

Il estime que l'efficacité énergétique de l'appareil doit être améliorée "de 10 à 15%", ce qui permettrait selon lui à l'avionneur d'atteindre les chiffres de vente qu'il vise avec la version actuelle de l'A380.

"Cela doit être le fruit d'efforts conjoints entre le motoriste et Airbus, il ne s'agit pas seulement d'une question de structure de l'avion mais aussi de la consommation de carburant, qui provient du moteur", a expliqué Akbar Al Baker.

PUBLICITÉ

Le patron de la compagnie qatarie a également évoqué à cette occasion son intérêt pour la compagnie low-cost indienne IndiGo, dont il souhaiterait reprendre jusqu'à 49%.

Mais IndiGo, le premier transporteur du sous-continent indien par les parts de marché, n'envisage pas de cession dans l'immédiat.

"(Le propriétaire de la compagnie aérienne indienne) a indiqué qu'il ne prévoyait pas de céder de participation, mais si cette éventualité se présente, il sait que je suis intéressé", a-t-il déclaré, tout en précisant qu'il n'y avait pas de discussions en cours.

(Matt Smith, Myriam Rivet pour le service français, édité par Véronique Tison)