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Producteur tabassé : Ces policiers ont "sali l'uniforme de la République", estime Darmanin

Le ministre de l'Intérieur, invité au 20 Heures de France 2, a annoncé qu'il demanderait «la révocation», des policiers mis en cause dans le passage à tabac d'un producteur de musique dans son studio parisien samedi soir.

Les images du passage à tabac d'un producteur de musique, roué de coups par des fonctionnaires de police, dans son studio parisien samedi soir choquent et scandalisent. Face à la polémique, la deuxième de la semaine autour des violences policières, Gérald Darmanin s’est exprimé au 20 heures de France 2 jeudi. Le ministre de l’Intérieur a estimé que les policiers en question «avaient sali l'uniforme de la République». Qualifiant les images d’«extrêmement choquantes», il a annoncé qu'il demanderait «la révocation» des policiers mis en cause, «dès que les faits seront établis par la justice».

Voir aussi :Producteur tabassé: Mbappé, Griezmann et Umtiti dénoncent "une vidéo insoutenable"

Quatre policiers mis en cause ont été suspendus de leurs fonctions et le parquet de Paris a ouvert en outre une enquête contre les fonctionnaires. Cette nouvelle affaire a éclaté à la faveur de la publication par le site «Loopsider» d'images qui montrent un homme noir, Michel Zecler, roué de coups par des fonctionnaires de police dans l'entrée d'un studio de musique du XVIIe arrondissement de la capitale.

"Lorsqu'il y a des gens qui déconnent, ils doivent quitter l'uniforme"

Sur le plateau de France 2, le premier flic de France a également réaffirmé son soutien «sans faille» aux policiers et aux gendarmes, avec une «contrepartie» : «l'exigence du ministre de l'Intérieur pour le respect absolu de la loi et de la déontologie». «Lorsqu'il y a des gens qui déconnent, ils doivent quitter l'uniforme. Ils doivent être sanctionnés. Ils doivent quitter ce travail. Ils doivent être punis par la justice», a-t-il fait valoir.

Il a aussi exprimé à nouveau son soutien au préfet de police de Paris, Didier Lallement. «Je ne suis pas homme qui recherche(...)


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