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Le prix du gaz européen augmente encore, un hiver tendu en perspective

© John MACDOUGALL / AFP

Face à la hausse du prix du gaz en Europe, l’Allemagne, particulièrement dépendante du gaz russe, craint une pénurie cet hiver dans certaines régions.

Les prix de l’énergie continuent leur montée en flèche en Europe, à l’exception du pétrole qui recule pour la neuvième semaine consécutive. Ce vendredi, la hausse du prix du gaz européen a, en tout cas, atteint un nouveau record en clôture, dopé par la fermeture « pour maintenance » de Nord Stream par le géant russe Gazprom pour plusieurs jours, rapporte l’AFP. Il devient ainsi difficile pour l’Union européenne de se doter de réserves suffisantes de gaz pour cet hiver, tout en se passant des exportations russes.

De quoi faire grimper le prix du contrat à terme du TTF néerlandais à 257,40 euros. En cours de séance, son prix n’avait dépassé ce niveau que lors des premières journées marquées par le début de la guerre en Ukraine. Il avait atteint, le 7 mars dernier, un sommet historique à 345 euros, avant de descendre à nouveau en clôture de séance.

Le moyen de pression de Moscou

Gazprom a indiqué que ses livraisons de gaz à l’Europe allaient reprendre après un arrêt du 31 août au 2 septembre. Mais l’Union européenne se méfie du géant russe, accusant Moscou d’utiliser le gaz comme un moyen de pression dans le cadre de son invasion de l’Ukraine. En juillet, la Russie avait déjà coupé les vannes durant dix jours pour des travaux de maintenance, causant des frayeurs sur le continent. La situation ne devrait pas s’apaiser puisque Gazprom a également déclaré début août qu’il était « impossible » d’acheminer une turbine essentielle au fonctionnement du gazoduc Nord Stream vers l...

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VIDÉO - Allemagne : flambée des prix de l'énergie avec la dépendance au gaz russe