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Les prix devraient continuer de flamber dans les grandes surfaces

Si les prix grimpent trop, l'ensemble de la chaîne agroalimentaire s'expose à une baisse des volumes vendus, parce que les clients se priveraient de produits devenus trop chers. - Credit:Lionel VADAM / MAXPPP / PHOTOPQR/L'EST REPUBLICAIN/MAXPP

À deux jours de la fin des négociations commerciales entre de grandes surfaces et leurs fournisseurs de l’agro-industrie, la flambée des prix se confirme.

Quelle que soit l'issue des négociations, les prix en rayon vont encore augmenter. Le constat est sans appel, tandis que s'achèvent les négociations commerciales entre de grandes surfaces et leurs fournisseurs de l'agro-industrie, ce mercredi 1er mars. Les discussions sont houleuses alors que le prix d'une majorité des produits vendus dans les grandes surfaces alimentaires, du leader E.Leclerc à Casino en passant par Carrefour, dépend des conditions d'achat qui vont être négociées.

Les grandes surfaces sont libres du prix des denrées qu'elles vendent au consommateur, à condition de respecter une marge minimale de 10 % prévue par la loi. Mais elles doivent négocier chaque année avec l'agro-industrie le prix et les conditions de vente pour les yaourts, les viandes ou les biscuits. Leur intérêt est d'obtenir les meilleures modalités pour pouvoir être compétitifs sur leurs prix tout en protégeant leurs marges bénéficiaires. C'est d'autant plus crucial cette année que les coûts d'exploitation des magasins s'envolent, en particulier les factures d'électricité.

Sauf que les industriels, eux aussi, font face à une inflation de leurs coûts de production, des matières premières agricoles aux emballages, et demandent depuis des mois à la grande distribution de leur acheter leurs produits plus chers.

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