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Et si on privatisait toute la collecte des déchets à Paris ?

Edward Berthelot/GETTY_IMAGES

Le contraste est parfois frappant. D’un quartier à l’autre, les montagnes de poubelles disparaissent et réapparaissent dans la rue suivante. Certains arrondissements de Paris sont en effet plus touchés que d’autres par la grève des éboueurs contre la réforme des retraites. Car la capitale possède un système de collecte particulier : les agents municipaux assurent le ramassage de la moitié des arrondissements (les 2e, 5e, 6e, 8e, 9e, 12e, 14e, 16e, 17e, et 20e), tandis que le reste est desservi par des entreprises privées.

Le compromis de répartition date de l’époque où Jacques Chirac était maire de Paris et faisait face à des grèves importantes en 1986. Les raisons invoquées pour cette semi-privatisation ? Un coût moindre, la nécessité d'une concurrence, le refus de la régie de travailler le soir et, en filigrane, la possibilité, en cas de grève, de demander un coup de main au privé. Aujourd’hui, à la vue des poubelles qui s’accumulent sur les trottoirs parisiens en raison de la grève des éboueurs, la question se pose : pourquoi n’irait-on pas jusqu’à une privatisation à 100% ?

En temps normal, l’équilibre fonctionne plutôt bien. Mais quand les grèves s’en mêlent, le débat est régulièrement relancé par l’opposition qui dénonce un “système à deux vitesses”. Delphine Bürkil, maire (Horizons) du 9e arrondissement – géré par le service public et très touché par le mouvement –, considère qu’il est “urgent de revenir sur l’organisation hybride de la collecte des déchets à Paris”, jugeant (...)

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