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"Private equity" : diversifier son patrimoine avec le non-coté

© wutwhanfoto/Getty/iStockphoto

Investir au capital de quelques ­dizaines d'entreprises non cotées en Bourse : voilà ce que permettent les fonds de capital-investissement ou private equity. Autrefois réservés à la clientèle fortunée, ces produits se démocratisent progressivement avec des offres de plus en plus accessibles. La performance dégagée par ces investissements au cours des dix dernières années a de quoi susciter l'intérêt. Selon ­l'association professionnelle France Invest, elle a atteint 10,1% par an en moyenne entre 2011 et 2020, soit près de trois points de plus que celle de l'indice phare de la Bourse de Paris, le CAC 40, pourtant très porteur sur la période.

Et ce n'est pas le seul atout des fonds de private equity. "Ils permettent d'investir dans des entreprises tout en réduisant les mouvements, parfois erratiques et anxiogènes, de la Bourse", souligne Éric Boutchnei, membre du directoire de la société de gestion ­Isatis Capital. Revers de la médaille : ces produits affichent un risque de perte prononcé et l'argent doit être immobilisé pendant une durée d'au moins cinq ans, et plus souvent de huit à dix ans, sans possibilité de sortie anticipée quand ils sont souscrits en direct. "Il faut être certain de ne pas avoir besoin de son argent pendant ce laps de temps", prévient Souleymane-Jean ­Galadima, directeur général de la plateforme d'investissement Alphacap. C'est pourquoi la part à allouer au capital-investissement doit rester mesurée. Elle dépend du profil de chacun, mais "pour un ...


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