Présidentielle: Nicolas Sarkozy fera son choix en février
Au second tour de l'élection présidentielle, l'ex-Président refuse de se prononcer pour une candidature "mortifère d'extrême droite". Dans les indiscrétions politique de cette semaine, retrouvez aussi Julien Bayou, Jean-Luc Mélenchon, Eric Ciotti...
Présidentielle: Nicolas Sarkozy fera son choix en février
a confié qu’il se prononcerait publiquement sur son choix en février. En principe pour sa famille, et donc pour , et non pour Emmanuel Macron, du moins au premier tour. Car au second, si la candidate LR n’était pas qualifiée, pas question de laisser passer une candidature "mortifère d’extrême droite".
Le Vert Bayou évacue déjà Hidalgo et Taubira
Les scores peu flatteurs qu’accordent les sondages, dont , à Yannick Jadot (7%, contre 11% à Jean-Luc Mélenchon) n’affectent pas – enfin pas trop – le secrétaire national d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) : "Aux européennes, on a longtemps végété autour des 3% et on s’était alors sacrément bastonnés, avant de nous imposer dans la dernière ligne droite avec plus de 13%." Il rêve que son candidat "brise l’armure ainsi que le mur d’indifférence qui s’installe autour des enjeux écologiques. Mais pas d’affolement, tout va se décanter, et l’on aura face à face deux offres, celle pour le moins obscure et contradictoire de Mélenchon et celle de Yannick qui offrira un choix clair sur l’écologie comme sur l’Europe. Dans les débats télévisés, qui seront décisifs, la clarté paiera". Et Anne Hidalgo? "Elle est hors-jeu, son temps est passé." Christiane Taubira? "Elle est lunaire."
Pécresse est l’adversaire favorite de Mélenchon
a le sourire sur le plateau du Grand jury RTL-Le Figaro-LCI comme en coulisses, où il conte avec humour ses amicaux échanges passés avec Marcel Dassault, jadis doyen de l’Assemblée nationale. A 70 ans, le député des Bouches-du-Rhône n’en est pas là, mais sa troisième campagne présidentielle sera bien, promis, "la dernière". Après les hologrammes, il promet d’innover avec un meeting-spectacle odoriférant, "avec du gingembre parce que j’ai besoin que le peuple se repeuple". Son adversaire favorite? Valérie Pécresse, "vraie femme de droite qui va monter dans les sondages". Evidemment, la quasi-disparition d’Anne Hidalgo et du PS n’est pas pour l’attrister –[...]
Lire la suite sur challenges.fr
A lire aussi
Sommet de l'économie de Challenges: quand Nicolas Sarkozy refait la France et l’Europe….
Pécresse et le Kärcher: et si la marque sortait gagnante de la polémique?
Dussopt à la tête de Territoires de progrès, à l'aile gauche de la macronie
Jean-Luc Mélenchon réussit à Nantes son entrée en campagne en assumant sa radicalité