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Précarité étudiante : «A Paris, tu es livré à toi-même», le témoignage d’Ulrich

Illustration Capital

En cette rentrée 2024, les organisations étudiantes s’alarment d’une hausse du coût de la rentrée universitaire. Celui-ci «atteint pour septembre 2024 la somme de 3 157 euros» pour un étudiant non boursier, assure la Fage, la Fédération des associations générales étudiantes, dans son baromètre annuel publié mercredi 4 septembre. Ce chiffre englobe les frais liés aux études, mais aussi les dépenses du quotidien, telles que le logement, la nourriture et les charges diverses. Une étude de l’organisation Cop1 révélait en 2023 que 50% des étudiants ont un reste à vivre inférieur à 100 euros (dont la moitié a moins de 50 euros) pour vivre après déduction du loyer et des charges.

Ulrich, 24 ans, étudiant en data analyse à Paris, incarne cette réalité. Arrivé en France il y a deux ans, il a fini par trouver à se loger à Bobigny, en banlieue parisienne, dans une petite chambre de 10 mètres carrés pour laquelle il paye 400 euros par mois «en liquide», en échange d’un service de gardiennage. «Ce n’est pas très déclaré, et c’est loin de mon école qui est à Nanterre, mais je n’ai rien trouvé d’autre donc je n’ai pas le choix», explique-t-il.

En parallèle de ses études, il enchaîne les petits boulots étudiants après les cours, finissant souvent vers 1 heure du matin, sans compter les week-ends. «Je ne comptabilise pas les heures pour pouvoir mettre le plus d’argent possible de côté. Quand tout va bien, je peux gagner 700, 800 euros par mois, mais ce n’est pas toujours le cas. Certains mois sont (...)

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