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Près de 300 « salons de massage » parisiens dissimuleraient de la prostitution

Une enquête de l’association Zéromacho dénonce un réseau de prostitution.

Le constat est sans appel : « Les salons de massage chinois à Paris sont presque tous des lieux de prostitution. » Dans une enquête parue au début du mois, l’association Zéromacho, un « réseau international d’hommes engagés contre le système prostitueur et pour l’égalité femmes-hommes », dénonce la prostitution qui opère dans les « salons de massage » chinois de la capitale. Durant l’enquête, des bénévoles de l’association ont discuté avec des employées et des clients de ces salons : le protocole est souvent le même, et des prestations sexuelles sont proposées avec le mot-clé « finition ».

Soupçons de réseau organisé

Les employées de ces salons seraient à 85% originaires de Chine, et à 15% de Thaïlande. « Ce sont des personnes isolées, vulnérables, victimes de la traite des êtres humains et ça ne semble déranger personne », détaille Frederic Robert dans une interview donnée au Parisien. « L’ensemble des similitudes relevées, les aspects des locaux, éléments de décor de la vitrine, prédominance des Chinoises, photos identiques d’une partie des flyers, semble indiquer l’existence d’un petit nombre de décideurs, gérant ce qui apparaît comme des chaînes de petits bordels », explique l'enquête. Un signalement au procureur de la République de Paris a été adressé par l’association.

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