La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 322,39
    +59,02 (+0,81 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 315,05
    +29,63 (+0,69 %)
     
  • Dow Jones

    33 274,15
    +415,12 (+1,26 %)
     
  • EUR/USD

    1,0847
    -0,0062 (-0,56 %)
     
  • Gold future

    1 987,00
    -10,70 (-0,54 %)
     
  • Bitcoin EUR

    26 139,48
    -165,18 (-0,63 %)
     
  • CMC Crypto 200

    621,79
    +7,58 (+1,23 %)
     
  • Pétrole WTI

    75,70
    +1,33 (+1,79 %)
     
  • DAX

    15 628,84
    +106,44 (+0,69 %)
     
  • FTSE 100

    7 631,74
    +11,31 (+0,15 %)
     
  • Nasdaq

    12 221,91
    +208,43 (+1,74 %)
     
  • S&P 500

    4 109,31
    +58,48 (+1,44 %)
     
  • Nikkei 225

    28 041,48
    +258,55 (+0,93 %)
     
  • HANG SENG

    20 400,11
    +90,98 (+0,45 %)
     
  • GBP/USD

    1,2332
    -0,0058 (-0,47 %)
     

Pourquoi Facebook va encore supprimer des postes

tashatuvango/Adobe Stock

Les licenciements continuent au sein du groupe Meta. L’entreprise devrait supprimer, à nouveau, "des milliers d’emplois dès cette semaine", rapporte Bloomberg, relayé par BFM TV, le 7 mars 2023. Cette nouvelle vague de départs est due aux "objectifs financiers". Les directeurs et vice-présidents du groupe ont pour mission d’établir la liste des salariés qui pourraient être virés par Meta, a indiqué une source proche du dossier au média américain. Cette volonté de licenciements de masse s’inscrit dans la continuité de la réduction de la masse salariale du groupe.

En novembre 2022, déjà, Meta avait indiqué que 11.000 employés allaient être licenciés. Conséquence ? 13% de la masse salariale a pu être économisée. Pour autant, il s’agissait du premier grand plan de départ de la maison-mère de Facebook et Instagram. Et pour cause, en 2022, elle avait enregistré une augmentation de 20% de son nombre d’employés en un an. L’année dernière, 86.482 personnes étaient salariées du groupe, bien qu’une "grande majorité des 11.000 employés touchés par le plan de licenciements" soit incluse dans le calcul, avait indiqué Meta.

Désormais, la firme américaine veut s’adapter au ralentissement de l’activité dû, en partie, à la baisse des recettes publicitaires. Les embauches ont donc été gelées jusqu’en mars. 2023 doit être "l’année de l’efficacité", fait savoir Mark Zuckerberg, PDG de Meta. Il souhaite que son entreprise rebondisse après une baisse des revenus annuels du groupe de 1%, la première (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Sur Doctolib, 85% des rendez-vous chez le pédiatre sont pris par des femmes
TikTok va rendre certaines vidéos payantes
Le géant des maisons de retraite Orpea obtient des crédits massifs
Les géants des parfums se seraient entendus sur les prix, une enquête ouverte
Atos va "étudier" la vente de son infogérance à Daniel Kretinsky, pourrait lui verser plusieurs centaines de millions