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Pourquoi les copropriétés prennent de plein fouet l’augmentation du gaz

Les copropriétés ne sont pas concernées par le gel des tarifs de l'énergie (illustration).
Les copropriétés ne sont pas concernées par le gel des tarifs de l'énergie (illustration).

Face à l'augmentation du prix du gaz, Jean Castex avait déployé, le 20 septembre dernier, un gel provisoire du tarif réglementé de vente (TRV) du gaz et de l'électricité, avec pour objectif de préserver le porte-monnaie des Français. Or, cette mesure compte son lot d'oubliés : les résidents de copropriétés et les locataires de HLM qui dépendent du chauffage collectif, révèle Le Parisien.

En effet, depuis 2016, seuls les particuliers sont éligibles aux tarifs réglementés. Les autres (entreprises, immeubles soumis à des contrats collectifs) doivent souscrire à des offres de marché. On compte actuellement près de 4,9 millions d'appartements au chauffage collectif, soit 18 % du parc immobilier, dont 2 millions de HLM, qui ne sont donc pas protégés par le « bouclier tarifaire » vanté par le Premier ministre. Une double peine pour des ménages souvent modestes.

Une situation également aggravée par l'imprudence de certains bailleurs. « Au-delà de dispositifs gouvernementaux largement imparfaits, certains bailleurs sociaux ont fait preuve d'une grande imprudence en recourant à des contrats indexés sur les marchés, auprès de fournisseurs parfois peu scrupuleux, dénonce François Carlier, le délégué général. Aujourd'hui, ils font payer le prix de leur amateurisme aux locataires qu'ils sont pourtant censés protéger », explique à nos confrères l'association de consommateurs CLCV (Consommation, logement et cadre de vie) qui a lancé un audit sur le sujet.

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