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Pourquoi les champions et les premiers de la classe craquent aussi sous la pression

Qu’ils soient champions olympiques ou premiers de la classe, les gagnants ont aussi leurs faiblesses et la pression peut les pousser à renoncer.

« Je dois faire ce qui est bon pour moi et me concentrer sur ma santé mentale, c’est pourquoi j’ai décidé de prendre du recul », a expliqué la gymnaste américaine Simone Biles en conférence de presse, après l’annonce de son retrait du concours général aux JO de Tokyo, ce mardi. Sa décision a depuis été largement commentée et relayée, à l’instar de celle de Naomi Osaka en juin, qui s’était retirée de Roland Garros. « Je ne suis pas naturellement à l'aise pour parler en public et je ressens d'immenses vagues d'anxiété quand je dois m'adresser à la presse mondiale », avait expliqué la tenniswoman dans un long tweet, avant de finalement abandonner la compétition.

Lire aussi >> Naomi Osaka et Yseult, la génération qui dit non aux médias

Si le phénomène du burn-out est identifié depuis plusieurs années, et la santé mentale de plus en plus placée au centre des préoccupations, notamment du fait de la crise sanitaire, l’état psychologique des sportifs de haut niveau, des « gagnants », est un sujet encore peu abordé. Aline Nativel Id Hammou, psychologue, l’explique ainsi : « on a l’image du champion, de l’athlète de haut niveau, du sportif qui est capable de supporter une pression très intense, comme si c’était naturel. C’est aussi pour ça qu’ils craquent au dernier moment. Il y a quelque chose qui dépasse la pression sociétale et sportive, c’est que psychiquement, émotionnellement et cognitivement, ça ne...

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