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Pourquoi Boeing s'enfonce dans la crise

La chaleur n'est pas étouffante à cette période de l'année, mais rarement le Salon aéronautique de Dubai n'a connu un air aussi pesant. Tous les deux ans, mi-novembre, les émirs ont l'habitude d'y sortir leur carnet de chèques pour offrir aux compagnies du Golfe, Emirates, Qatar Airways ou Ethiad, des brassées d'avions neufs. Leurs commandes, proches cette année de 50 milliards de dollars, n'ont pas suffi à détendre l'atmosphère. La dernière grande manifestation aéronautique de 2019 devait donner la température de Boeing, secoué par le plus gros crash ­industriel de son histoire.

 

Lire aussi - Crash d'Ethiopian Airlines : pourquoi le Boeing 737 MAX 8 est au centre de l'enquête

Depuis mars, son best-­seller, le 737 Max, est cloué au sol. Les compagnies attendent toujours le calendrier de sa prochaine remise en service. À Dubai, les représentants de l'américain n'ont pu que confirmer leur embarras croissant face à une crise amenée à durer au moins jusqu'au premier semestre 2020. Si d'ici là, rien ne vient à nouveau contrecarrer leurs plans.

Le 737 Max en panne de clients

Comme lors du Salon du ­Bourget, en juin, une seule question agitait les dizaines de milliers de participants de ­Dubai : Boeing allait-il trouver de nouveaux clients pour son 737 Max? Au ­Bourget, le britannique IAG (­British ­Airways, Vueling, ­Iberia), avait brisé la malédiction en ­annonçant sa volonté d'acheter 200 appareils. Las, cinq mois plus tard, cette intention ne s'est toujours pas convertie en comma...


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