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Pour renflouer ses caisses, l’État veut privatiser les aéroports d’Orly et de Roissy

Aeroporto Orly
Aéroport d’Orly

L’État pourrait récupérer jusqu’à 7 milliards d’euros en cas de privatisation totale.

Après les aéroports de Nice, de Lyon et de Toulouse, l’État veut poursuivre sur la voie de la privatisation. Roissy et Orly seraient les prochains sur la liste. L’État souhaiterait céder tout ou une partie des 50,6% du capital qu’il détient.

Depuis un mois, le dossier est à l’étude, et plusieurs pistes sont envisagées. La première serait la plus radicale et la plus lucrative : une cession totale des 50,6% du capital. Une telle vente pourrait rapporter autour de 7 milliards d’euros. Selon BFM Business, Vinci serait le favori si cette solution était retenue par l’Etat.

Plusieurs pistes envisagées

Autre piste envisagée, et qui serait préférée par le PDG d’Aéroports de Paris, celle d’une cession partielle des parts de l’État, qui pourrait conserver 30%. L’État céderait alors 20% de son capital, par lots de 4 à 5%.

Deux autres pistes, jugées moins réalistes, sont également à l’étude. Celle d’une division du groupe en deux sociétés, l’une pour Roissy l’autre pour Orly, afin de stimuler la concurrence. L’autre option est que l’État garde la propriété foncière des aéroports de Paris comme pour les concessions autoroutières. Objectif, éviter que le futur propriétaire ne favorise la spéculation immobilière au détriment de l’essor des aéroports.