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Politique. Le président tunisien accusé de “coup d’État” après avoir limogé le Premier ministre

Le président tunisien, Kaïs Saïed, a décidé dimanche soir de geler les travaux du Parlement pour trente jours et de s’octroyer le pouvoir exécutif, à l’issue d’une journée de manifestations visant notamment le principal parti au pouvoir, Ennahda, lequel dénonce un “coup d’État”.

Kaïs Saïed “prend en main les destinées du pays”, titrait Kapitalis dimanche 25 juillet. Le président tunisien venait d’annoncer, lors d’une allocution dans la soirée, qu’il gelait pour trente jours les activités du Parlement, et démettait de ses fonctions le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, après une journée de manifestations contre les dirigeants tunisiens.

“Après les mouvements de protestation ayant éclaté aujourd’hui, dans toutes les villes du pays et les scènes d’affrontements avec les forces de l’ordre, et dans un contexte de grave crise économique et sanitaire, le président Kaïs Saïed s’est finalement résigné à actionner l’article 80 de la Constitution de 2014, pour tenter de sauver le pays de désordres annoncés”, justifie le portail d’information en langue française.

“Coup d’État”

Si certains ont salué la décision du président par des célébrations dans les rues, relate Al-Jazira, ses rivaux l’ont accusé d’un “coup d’État”, notamment le président du Parlement tunisien et chef de file du parti islamiste Ennahda, Rached Ghannouchi

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La chaîne qatarie explique :

Il s’agit du plus grand défi à ce jour pour une Constitution de 2014 qui divise les pouvoirs entre le président, le Premier ministre et le Parlement.”

Les actions du président interviennent trois mois après que Middle East Eye a “révélé

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