Policier, agent SNCF : découvrez les métiers des médaillés des JO
Si les athlètes français se sont entraînés durement pour ces Jeux olympiques de Paris, la plupart d’entre eux travaillent également à côté. En effet, les sportifs «de haut niveau de la défense» ont remporté pour l’instant 18 médailles sur toutes celles obtenues par la délégation française. C’est le cas notamment du kayakiste champion olympique Nicolas Gestin qui est aviateur dans l’armée de l’Air, ou de la judokate Shirine Boukli (second maître dans la Marine), médaille de bronze en moins de 48 kg, comme le rapporte Actu.
Au sein du ministère des Armées, on dénombre «200 sportifs de haut niveau de la défense (SHND) valides, sous statut militaire, engagés dans les différentes armées». Parmi eux, 78 ont participé à cette olympiade. Mais ce constat n’est pas nouveau puisque depuis la première édition de l’ère moderne des JO en 1896, beaucoup d’athlètes militaires sont parvenus à glaner des médailles, et même en hiver. Le biathlète Martin Fourcade, quintuple champion olympique, est engagé dans l'armée de Terre. Il a en effet gravi les échelons de sous-officier à sous-lieutenant.
Pour de nombreux sportifs professionnels, leurs revenus reposent beaucoup sur leurs sponsors, les contrats d’image et les éventuels «prize money». Ainsi, ils sont parfois contraints, s’ils ne choisissent pas l’armée, de trouver un emploi dans la fonction publique qui leur permette de concilier leur profession et le sport. Les fonctionnaires de police sont également représentés parmi les médaillés des JO de (...)
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