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Plan Epargne Logement : les pistes de la Cour des comptes pour supprimer les privilèges des vieux PEL

cour des comptes
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1% par an, avant impôts et prélèvements sociaux : voici ce que rapportent actuellement les nouveaux Plans Epargne Logement, en attendant une probable revalorisation en janvier 2023. Face au Livret A (2% net) ou au LEP (4,6%), le PEL ne fait plus le poids et conserve comme unique avantage son plafond de versement très élevé (61 200 euros).

Mais cela n'a pas toujours été le cas : avant 2015, l'argent placé sur un PEL rapportait plus de 2%. Son rendement était même monté à 3,27% de 2000 à 2003 et dépassait les 4% avant 1994. Des rémunérations dont profitent encore certains épargnants.

Ce n'est, en effet, qu'en 2011 que la réglementation a limité à 15 ans la durée de vie des plans. Ceux souscrits avant 2011 continuent d'accumuler des intérêts pour une durée illimitée, au taux fixé au moment du contrat, ce qui incite logiquement certains épargnants à les conserver. Au mépris de « l'esprit » du PEL, conçu à l'origine comme un placement à moyen terme, permettant d'obtenir un prêt à des conditions avantageuses pour acheter un bien immobilier ou financer des travaux.

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