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Le plan anti-pédopornographie de l’UE s’annonce calamiteux

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Les instances européennes chargées de la protection de la vie privée ont sabré sans ménagement l’initiative de la Commission en matière de lutte contre la pédopornographie.

C’est un sujet pour lequel la moindre réserve est par essence très compliquée à exprimer, compte tenu des enjeux de protection de l’enfance et de l’impératif moral qu’il y a à combattre tout contenu pédopornographique — CSAM en anglais, soit child sexual abuse material. C’est pourtant sur ce terrain difficile que des instances européennes clés se sont placées.

Dans un communiqué commun paru le 29 juillet 2022, et relayé par 01 Net le 3 août, le Contrôleur européen de la protection des données et le Comité européen de la protection des données, qui réunit les instances nationales de l’UE, comme la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) en France, ont pris la parole pour mettre en garde Bruxelles.

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En cause ? L’initiative de la Commission européenne en matière de lutte contre la pédopornographie, justement. Présentée au cours du mois de mai, elle contient une disposition qui a suscité des débats animés, puisqu’elle souhaite imposer un scan de tous les messages, y compris ceux étant chiffrés, pour déceler tout contenu CSAM et prendre les mesures adéquates, le cas échéant.

Cette initiative survient alors que le Vieux Continent désire actualiser son cadre réglementaire sur la protection des mineurs. Mais à la présentation de son plan,

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