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"Pizza", "caramel", "salade de phalanges", "cuillère" ou "fourchette" : le truculent jargon du rugby

© AFP / Glyn KIRK

Chaque sport possède son vocabulaire de "connaisseurs" : le rugby, dont la Coupe du monde se tiendra du 8 septembre au 28 octobre en France, ne fait pas exception et fait la part belle à la métaphore culinaire.

Éviter les "pizzas " mais enchaîner les "caramels", réussir une "cuillère" mais ne pas faire de "cathédrale" : souvent cuisiniers, parfois maçons mais toujours avec un vocabulaire très imagé, les rugbymen possèdent un jargon bien à eux, comme souvent pour les disciplines sportives. Tour d'horizon du truculent langage du milieu du rugby avant la Coupe du monde en France.

Les "gros" doivent garder le ballon dans la "cocotte"

Pour les "déménageurs de pianos" ou les "gros", à savoir les huit joueurs de devant, qui portent de moins en moins bien ce dernier surnom à mesure que le professionnalisme gagne ce sport, tout commence aux fourneaux.

Pas question pour le talonneur de "lancer une pizza" en touche, au risque de perdre la balle qui atterrirait dans les mains d'un adversaire après un lancer hasardeux. Mieux vaut la conserver au chaud dans une "cocotte", où François Cros, Paul Willemse et les autres avants bleus pousseront en entourant le porteur du ballon.

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Parfois maladroit, l'avant peut se retrouver à envoyer un "parpaing", une passe "dans les chaussettes" mal ajustée que son coéquipier plus agile tentera de rattraper.


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