PER et immobilier : le mariage parfait pour diminuer son impôt sur le revenu et son IFI
Avec un encours qui, 5 ans après son lancement, dépasse déjà les 80 milliards d’euros, le plan d’épargne retraite (PER) connaît un réel engouement. Plus souple que ses prédécesseurs (Perp, Madelin, Préfon…), il a déjà séduit 6 millions d’épargnants qui souhaitent se constituer une retraite supplémentaire tout en profitant de son cadre fiscal attractif. L’un des principaux avantages du PER, bien connu des épargnants, est de permettre à son titulaire de réaliser des versements déductibles, dans la limite d’un plafond, de son revenu imposable. Un atout indéniable, en particulier pour les plus taxés dont le taux marginal d’imposition (TMI) est important. Une fois retraité, le titulaire du PER pourra s’il le souhaite retirer cette épargne (en rente et/ou en capital). A cette occasion les retraits passeront par la case impôt, mais à un taux probablement plus faible. Cette carotte fiscale à l’entrée n’est toutefois pas la seule. En effet, au regard de l’immobilier, le PER dispose d’atouts supplémentaires.
Le PER est une enveloppe dite de capitalisation, au même titre que son grand frère le contrat d’assurance vie. Cela signifie que les gains générés par le contrat ne sont fiscalisés qu’au moment du retrait. Un avantage de taille surtout si vous êtes attiré par l’immobilier locatif, au travers des nombreux supports en unités de compte (SCPI, SCI et OPCI) proposés aujourd’hui sur les (...)
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