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Dans ce pays, Uber contraint de payer une note salée pour régulariser les chauffeurs reconnus comme salariés

why kei/Unsplash

La société Uber devra régler en Suisse une addition salée pour régulariser la situation de ses chauffeurs. Le 17 juin dernier, le Tribunal fédéral du canton de Genève avait décidé que les chauffeurs de la plateforme étaient bel et bien des salariés, et non pas des indépendants. La société, arrivée sur le marché suisse en 2014, doit donc régulariser charges sociales, indemnités kilométriques, maladie, maternité... et primes diverses, pour un montant de 35 millions de francs suisses, soit 35,5 millions d'euros, rapporte La Tribune de Genève, ce vendredi 18 novembre. Normalement, le géant californien et les syndicats de chauffeurs devaient réussir à s'entendre sur un plan de régularisation. Mais face à leur désaccord en septembre dernier, c'est le Département de l'économie du canton qui a tranché, expliquent nos confrères.

Lors d'une conférence de presse qui a eu lieu ce vendredi, la cheffe du département a expliqué comment et à qui Uber devrait payer cette somme. Une partie (15,4 millions) règlera les cotisations sociales. 4,6 millions seront versés aux conducteurs au titre d'indemnités kilométriques. Le reste réglera la part patronale aux assurances sociales, les indemnités en cas de maladie, d'accident ou de maternité. Le média suisse précise que la plateforme de VTC enverra à chaque conducteur un courriel, avec les informations adéquates le concernant d'ici le 30 novembre. Les paiements devraient arriver sur les comptes des nouveaux salariés d'ici le début de l'année 2023. (...)

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