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Payer pour éviter les cookies est valable, mais le tarif doit être raisonnable

cookie wall
cookie wall

La Cnil trace ses premières pistes pour évaluer la légalité des cookies walls qui apparaissent à l’entrée de certains sites web. L’usage des « murs » n’est pas illicite, mais il faut rester convenable sur le prix de l’alternative.

L’avenir de l’accès à l’information en ligne se résumera peut-être un jour à la question suivante : préférez-vous accepter des cookies traceurs et accéder au site gratuitement ou souhaitez-vous les refuser et payer une petite somme en échange ? C’est en tout cas dans cette direction que le web français se dirige, avec l’émergence des « cookies walls », depuis plusieurs mois.

Vous avez certainement déjà croisé ces « murs à cookies ». Il s’agit d’une fenêtre qui apparaît en surimpression quand vous vous rendez sur un site, et qui vous demande de faire votre choix : préférez-vous l’accès gratuit, mais soumis aux cookies publicitaires, ou bien l’accès sans ces traceurs, contre quelques euros, et pour une durée variable (un mois, généralement) ?

Allociné cookie wall
Un exemple de « cookie wall ». // Source : capture d’écran

Des sites comme Allociné ou JeuxVidéo.com, qui appartiennent au groupe Webedia, ont ainsi sauté le pas depuis 2021. Cette nouvelle approche a nourri des questions légitimes : est-ce que cette manière de faire est licite ? La liberté de consentement est-elle remise en cause avec un choix qui peut apparaître orienté ? En somme, est-ce que la pratique est conforme au RGPD ?

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