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La patronne du FMI accusée d’avoir manigancé en faveur de la Chine

Kristalina Georgieva est visée par une enquête pour avoir fait pression afin de falsifier un rapport où la Chine se trouvait en mauvaise posture.

Kristalina Georgieva aurait fait pression pour modifier les données d’un rapport de la Banque mondiale afin de ménager la Chine, en mauvaise posture.

La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, aurait fait pression en 2017 pour modifier un rapport de la Banque mondiale, où elle était en poste à l'époque, afin de ménager la Chine. C'est la conclusion d'une enquête indépendante commandée par l'institution internationale et rendue publique ce jeudi 16 septembre.

Kristalina Georgieva s'est dite « en désaccord » avec les conclusions de cette investigation, dont les auteurs ont interrogé plusieurs dizaines d'employés, actuels et anciens, et passé au crible 80 000 documents. Face à ces révélations, la Banque mondiale a annoncé qu'elle arrêtait la publication de son rapport annuel Doing Business. C'est l'édition de 2018 qui est ici incriminée. Elle a dit travailler sur une « nouvelle approche pour évaluer le climat des affaires et des investissements ».

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Des pressions pour modifier le classement

En 2017, la Chine avait assez peu apprécié sa 78e place dans le rapport Doing Business de la Banque. Pour lui éviter de dégringoler encore dans le classement de l'année suivante, et obtenir sa signature dans des négociations sensibles, l'institution basée à Washington a employé les grands moyens, selon une enquête du cabinet d'avocats WilmerHale demandée par le comité d'éthique de la Banque mondiale. Il en ressort que des « pressions directes et indirectes » ont été exercées par de hauts [...] Lire la suite

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