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Pass sanitaire : les députés se penchent sur sa prolongation

Les députés vont se prononcer sur la prolongation du pass sanitaire pour huit mois. Cette première lecture promet quelques tensions.

Les députés se penchent à partir de ce 19 octobre 2021 sur un 10e texte consacré à la crise sanitaire depuis mars 2020, avec à la clef la prolongation controversée du pass sanitaire jusqu'au 31 juillet 2022. L'outil, honni par une minorité de la population mais utilisé par une large majorité des Français depuis l'été, est au coeur de ce projet de loi dit de "vigilance sanitaire". Les députés vont se prononcer sur la prolongation du dispositif pour huit mois, ce qui permettra d'enjamber la présidentielle et les législatives. Un choix qui fait hurler les oppositions.

Une période politiquement sensible

Plus de 380 amendements ont été déposés pour cette première lecture, dont une majorité sur l'article 2 litigieux. "Ça va être tendu", pronostique le LR Philippe Gosselin. "On ne peut pas s'asseoir sur la démocratie", fustige Pierre Dharréville, l'un des porte-paroles du groupe communiste. "C'est le pass sanitaire à vie", a critiqué la députée et candidate du RN à la présidentielle . , a d'ores et déjà annoncé qu'il n'était "pas question de donner un blanc-seing" à l'exécutif pendant une période si longue et si sensible politiquement. Le Conseil constitutionnel devrait être saisi par les oppositions si le projet de loi n'évolue pas au fil de la navette parlementaire, prévue jusque début novembre.

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Dans la rue, la contestation, qui avait rencontré un certain succès au coeur de l'été, s’essouffle. Dans l'hémicycle, la majorité devra garder un oeil sur ses propres troupes. Le 15 octobre, en commission des Lois, le député LREM de Paris Pacôme Rupin, opposant résolu au pass, a grippé le projet gouvernemental en faisant adopter de justesse un amendement qui prévoit de circonscrire l'utilisation du pass sanitaire géographiquement et en fonction de l'évolution de l'épidémie. Mais comme attendu, le groupe LREM remettra l'église au milieu du village par l'entremise d'un amendement de Guillaume Gouffier-Cha. Celui-ci prévoit de revenir à la logique nationale du pass, tout en prenant [...]

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