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Paris 2024 : Pour les produits dérivés, les Jeux sont ouverts

Pièces de monnaies, textiles ou autres, il y aura d’un peu tous les produits associés à Paris 2024.
Pièces de monnaies, textiles ou autres, il y aura d’un peu tous les produits associés à Paris 2024.

Les initiatives se sont multipliées jusqu’ici, de la part des partenaires associés à Paris 2024, pour créer de premiers produits dérivés, mais ce samedi 30 octobre, à 1000 jours pile du début de l’Olympiade, marquera officiellement le lancement de la première boutique en ligne ; étape primordiale, pour le financement de la compétition dans son ensemble.

J-1000 avant Paris 2024, le merchandising s’accélère

Ce jeudi, Edouard Baron, le directeur Licensing de Paris 2024 est venu en présenter les enjeux à la presse. Il sont élevés. Pour une question d’exemple, d’abord, puisque la plateforme est pensée avec le CIO, afin qu’elle perdure après Paris 2024, pour les Jeux de Milan, en 2026, puis de Los Angeles, en 2028. Pour l’aspect économique des choses, ensuite, car sur le merchandising des produits estampillés Paris 2024, le COJO nourrit de très hautes ambitions, en terme, à la fois de produits déclinés, et par ricochet, de revenus générés.

Un catalogue de 10 000 produits estampillés Paris 2024

De nombreux fournisseurs ont déjà rejoint l’aventure (Decathlon, Le Coq Sportif, la Monnaie de Paris, Drago, Weematch, et prochainement les lunetiers Julbo et Vuarnet). Au total, l’organisation vise quelques 10 000 objets au catalogue, sous le logo des JO. Du textile, à l’électronique, en passant par les jouets, bagagerie, maison… « Jamais un programme de licence n’a été aussi ambitieux », dans l’histoire olympique, claironne Edouard Baron. Des produits pour tout, pour tous, et partout, ce qui va nécessiter de « distribuer le plus large possible », depuis les grands distributeurs alimentaires, jusqu’aux commerces de proximité.

2 milliards de revenus espérés et la quête d’un marqueur fort

Est aussi visée, la quête d’un hit parade des étals. Un marqueur fort des Jeux, dont on se souviendra encore, longtemps après l’événement. Vancouver avait ses moufles, Rio ses tongs, vendues à près de 2,5 millions d’exemplaires. Paris cherche son produit star, « toutes les idées sont bonnes à prendre », prévient le directeur du programme. Cela devant mener à l’objectif de 2 milliards de revenus générés, in fine. Edouard Baron détaille : « 20% de la population française a l’intention d’acheter un produit Paris 2024. Soit 10 millions de personnes, environ, qui se disent prêtes à dépenser 50 euros. De façon projetée, nous avons donc l’équivalent de 500 millions de consommation. Nous avons le volonté de le multiplier par quatre ».

La mascotte de Paris 2024 sera dévoilée l’année prochaine

D’ici au jour J, des boutiques physiques vont ouvrir ; une première, éphémère, en 2022, puis d’autres, notamment une centaine prévues autour des sites olympiques. Le calendrier de la marque Paris 20O24 prévois encore trois temps forts que seront la révélation de la mascotte, d’abord, en 2022, le programme de pictogrammes, l’année suivante et enfin le relai de la flamme, en 2024. Avec la mascotte, le COJO espère vendre pas moins de 2 millions de peluches.