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Laurent Lafitte : "Nous avons eu quelques bleus sur le tournage de Papa ou Maman" (M6)

© 2015 Chapter 2 / Nexus Factory / Pathé / M6 Films / Jouror Films / Fargo Films / Umedia

Signé Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, les deux auteurs du Prénom (plus de 3,3 millions d’entrées), Papa ou Maman est l’anti-Famille Bélier. Jugez plutôt : les Leroy forment un couple à qui tout réussit. Florence et Vincent s’aiment, s’entendent à merveille, s’épanouissent chacun dans leur métier. Il est obstétricien, elle est ingénieure. Mais après quinze ans de mariage, et par crainte de sombrer dans l’ennui, ils décident de divorcer à l’amiable…

Une “guerre des Rose” à la française
Mais quand se pose la question de la garde de leurs trois enfants, une évidence s’impose : aucun des époux ne veut se charger de cette progéniture chamailleuse et insolente, d’autant plus que Florence vient de signer pour un chantier au Danemark, et que Vincent a accepté une mission humanitaire en Haïti… Laurent Lafitte et Marina Foïs montent au front de cette électrisante Guerre des Rose à la française avec un bonheur évident, et créent un duo qui rappelle celui de Michael Douglas et Kathleen Turner dans le film de Danny DeVito (1989). Il faut dire que les deux acteurs cultivent une belle complicité depuis leurs années d’études au cours Florent, à Paris. " J’ai eu un coup de cœur pour ce couple. J’avais envie de les mettre en valeur, car ils peuvent tout jouer. Même si c’est une comédie, le film passe par différentes humeurs ", s’enthousiasme le réalisateur, Martin Bourboulon, enfant de parents séparés, passé par la pub et Les Guignols de l’info.

Dans ce match où le but consiste à ce que les enfants choisissent l’autre camp, tous les coups tordus sont permis : pâtes au liquide vaisselle, coupe de cheveux ratée, mère qui s’incruste dans la boum de sa fille, séance de paintball musclée… On s’offusque d’une telle rosserie ? Pas du tout, on rit beaucoup ! "Ce film met en images tout ce qu’on n’a pas le droit de faire. Je ne connais pas une femme, ou alors c’est une menteuse, qui n’ait pas un jour eu envie de tout envoyer balader, y compris les enfants", confie Marina Foïs. Même si le scénario est complètement fou, il n’est pas si loin de la réalité et aborde, avec justesse, l’autorité parentale, ici défaillante, le burn-out familial et toutes les petites lâchetés conjugales.

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