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“Le pétrole pourrait revenir sur le devant de la scène, gare à la remontée des prix”

Maksym Yemelyanov/Adobe Stock

Depuis le mois de novembre, nous tenons un discours plus constructif (optimiste, NDLR) sur le prix du baril de pétrole, partant du principe que les probabilités d’une demande plus soutenue associée à une offre plus disciplinée devraient l’emporter sur le risque de récession qui affecterait fortement et négativement la demande. La semaine dernière, l’Agence internationale de l’énergie et l’Opep ont acté l’amélioration des perspectives économiques chinoises (grâce à la levée des restrictions liées au Covid-19) et leurs répercussions positives sur la croissance mondiale. L’AIE anticipe désormais pour l’année 2023 une augmentation de la consommation globale de pétrole de près de 2%, pour atteindre un niveau record de 101,7 millions de barils par jour et l’Opep a validé cette statistique en anticipant une croissance de la demande chinoise de 510.000 barils par jour.

Outre Atlantique, les indicateurs économiques avancés sont récemment passés en dessous du niveau des 50 (soit une activité en contraction, NDLR), envoyant de fait un message de prudence. Mais dans ce cas de figure, les mauvaises nouvelles sont de bonnes nouvelles puisque toute détérioration de la croissance économique américaine nous rapproche un peu plus de la fin du cycle de hausse des taux d’intérêt emmené par la banque centrale américaine (fin d’une politique monétaire restrictive). Et nous permet d’espérer un "atterrissage en douceur", comme l’a déclaré jeudi dernier la vice-présidente de la Réserve fédérale, Lael Brainard. (...)

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