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Pétrole : «faute d’embrasement sur Gaza, les fondamentaux reprennent le dessus plus tôt que prévu»

Maksym Yemelyanov/Adobe Stock

Dimanche dernier, l'Arabie Saoudite déclarait qu'elle maintiendrait sa réduction supplémentaire d'un million de barils de pétrole par jour jusqu'à la fin de l’année. La Russie lui emboitait le pas en réitérant son intention de maintenir sa réduction supplémentaire de 300 000 barils par jour jusqu'à la fin du mois de décembre. En parallèle, Alexandre Valentinovich Novak, vice-premier ministre de Russie précisait que cette la coupe serait revue «le mois prochain» pour envisager de l'accroitre ou de la réduire, instaurant une nouvelle inconnue, alors que l’Arabie Saoudite maintenait ses prix à destination de l’Asie en réponse aux marges des raffineries qui se contractent.

Les investisseurs ont interprété ces nouvelles négativement, dans la mesure où elles signalaient une éventuelle faiblesse de la demande globale, exacerbée par les publications des exportations chinoises en contraction au mois d’octobre. Les inquiétudes sur les approvisionnements de pétrole du fait des tensions géopolitiques (guerre Israël - Hamas à Gaza, NDLR) au début d’octobre (en décélération) ont fait place à l’offre croissante de pétrole des Etats Unis, du Brésil et de la Guyane, mais aussi des exportations de pétrole russe dans un contexte de ralentissement économique global.

L’Administration de l'Information sur l'Energie et l’Agence Internationale de l’Energie ont toutes deux validé ces craintes : la première en prévoyant qu’en 2024 la demande d’essence par habitant aux États-Unis chuterait à son niveau le (...)

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