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Pénurie. Au Liban, l’essence et les médicaments viennent à manquer

Cette semaine, les Libanais se sont rués dans les stations-service, et des pharmacies ont fermé leurs portes en raison de la probable levée du soutien aux produits de base qui pourrait intervenir en juin.

“Au Liban, nous vivons toujours dans la peur. Un jour, je cherche du lait pour mon enfant, un autre, de l’huile subventionnée, un autre, de l’essence, un autre, un médicament…”, explique le gérant d’un café du centre-ville de Beyrouth à L’Orient-Le Jour.

En raison de la crise économique et financière qui frappe le pays, certains produits essentiels comme le carburant, les médicaments ou certaines denrées alimentaires commencent à manquer et voient leur prix s’envoler.

Pour tenter de freiner l’inflation galopante et de limiter la pénurie de ces produits de première nécessité, les autorités libanaises et la banque centrale ont instauré un mécanisme de soutien financier. Or, comme l’explique le journal libanais, “les réserves en dollars de la Banque du Liban se réduisent comme peau de chagrin”, laissant entrevoir une diminution, voire une levée de ce mécanisme de soutien dans les toutes prochaines semaines.

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La peur est dans tous les esprits. Et balaye (presque) tout le reste. En particulier à l’approche du mois de juin présenté comme une étape fatidique.”

À lire aussi: Crise. Au Liban, le Hezbollah mise sur le clientélisme alimentaire

Pénurie d’essence et de médicaments

Face à cette dégradation de la situation économique qui “influe déjà sur la psychologie collective”, les Libanais sont littéralement “pris de panique”, écrit L’Orient-Le Jour.

Les quelques jours précédant le début des fêtes de l’Aïd el-Fitr, qui célèbrent la fin du ramadan, des files d’attente interminables de véhicules se sont

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