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Ouverture timide en vue en Europe

LES BOURSES EUROPEENNES ATTENDUES SANS GRAND CHANGEMENT

PARIS (Reuters) - Les principales Bourses européennes sont attendues sans grand changement vendredi dans l'attente de nouvelles indications sur l'évolution des prix dans la zone euro et de la reprise de la consommation aux Etats-Unis, mais elles se dirigent vers un bilan hebdomadaire en légère baisse avant la montée en cadence des publications de résultats.

Les contrats à terme sur indices suggèrent une ouverture pratiquement inchangée pour le CAC 40 à Paris et une hausse de 0,16% pour le Dax à Francfort, de 0,29% pour le FTSE 100 à Londres et de 0,12% pour l'EuroStoxx 50.

Le CAC 40 a reculé de 0,55% sur les quatre premières séances de la semaine et l'EuroStoxx 50 de 0,29%, la propagation continue du variant Delta du coronavirus, les signes de ralentissement de la croissance économique et la crainte toujours bien présente d'une inflation durable ayant incité les investisseurs à limiter la prise de risque, d'autant que la plupart des indices restent à proximité de leurs plus hauts récents.

La journée sera animée par des publications de sociétés cotées, comme Ericsson, Richemont ou Burberry, puis par les chiffres définitifs de l'inflation dans la zone euro et les statistiques des ventes au détail aux Etats-Unis.

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A WALL STREET

La Bourse de New York a fini en ordre dispersé jeudi, le Nasdaq ayant été plombé par des prises de bénéfice sur les grandes valeurs tandis que la baisse du nombre d'inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis a ravivé les craintes liées à l'inflation.

Alors que l'indice Dow Jones a gagné 0,15%, soit 53,79 points, à 34.987,02, le Standard & Poor's 500, plus large, a perdu 14,27 points, soit 0,33%, à 4.360,03 et le Nasdaq Composite a reculé de 101,82 points (0,70%) à 14.543,13.

L'indice S&P des hautes technologies a cédé 0,8% après quatre séances consécutives de hausse et celui de l'énergie a abandonné 1,4% avec le repli des cours du pétrole.

Les contrats à terme sur indices suggèrent pour l'instant une ouverture en légère baisse.

EN ASIE

A la Bourse de Tokyo, l'indice Nikkei a fini la journée en baisse de 0,98% après être repassé temporairement sous les 28.000 points. Les valeurs technologiques ont souffert du recul du Nasdaq américain tandis que l'augmentation continue du nombre de cas de COVID-19 au Japon, désormais au plus haut depuis janvier, pesait sur le sentiment de marché.

Les actions n'ont pas réagi aux annonces sans surprise de la Banque du Japon, qui a laissé sa politique monétaire inchangée et abaissé sa prévision de croissance 2021.

Sur l'ensemble de la semaine, le Nikkei a gagné 0,22%.

En Chine, le SSE Composite de Shanghai abandonne 0,58% et le CSI 300 0,93%, pénalisés entre autres par le repli des valeurs liés à la consommation, mais ils devraient afficher une performance hebdomadaire positive.

CHANGES

Le dollar est inchangé face aux autres grandes devises et l'euro se traite autour de 1,1810.

Le billet vert s'achemine vers une hausse d'environ 0,5% sur l'ensemble de la semaine, un mouvement favorisé à la fois par les spéculations sur la politique monétaire américaine et le regain d'aversion au risque lié à la situation sanitaire.

A noter par ailleurs, la hausse du dollar néo-zélandais après les chiffres supérieurs aux attentes de l'inflation, qui pourraient conduire la banque centrale à relever ses taux directeurs dès le mois prochain.

TAUX

Les rendements obligataires de référence de la zone euro baissent dans les premiers échanges, le dix ans allemand revenant à -0,342% tandis que le français repasse sous zéro.

Sur le marché américain, les rendements des bons du Trésor sont tombés jeudi à leur plus bas niveau depuis une semaine, sous 1,3% pour les titres à dix ans, mais ils remontent légèrement dans les échanges en Asie.

Ils restent pénalisés par les déclarations au Congrès de Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale, sur le caractère transitoire de l'inflation et l'insuffisance de la reprise de l'emploi.

PÉTROLE

Les cours du pétrole sont pratiquement inchangés mais ils se dirigent vers leur pire performance hebdomadaire depuis mars, conséquence d'un regain d'inquiétude liée à l'offre mondiale après le compromis trouvé, selon une source de Reuters, entre l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis.

Le Brent se traite à 73,21 dollars le baril (-0,35%) et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) à 71,40 dollars (-0,35%).

Ils ont perdu respectivement 2,8% et 3,9% sur les quatre premières séances de la semaine.