Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 022,41
    -0,85 (-0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,09
    -18,48 (-0,37 %)
     
  • Dow Jones

    37 986,40
    +211,02 (+0,56 %)
     
  • EUR/USD

    1,0661
    +0,0015 (+0,14 %)
     
  • Gold future

    2 406,70
    +8,70 (+0,36 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 627,23
    +561,97 (+0,95 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 374,85
    +62,23 (+4,74 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,24
    +0,51 (+0,62 %)
     
  • DAX

    17 737,36
    -100,04 (-0,56 %)
     
  • FTSE 100

    7 895,85
    +18,80 (+0,24 %)
     
  • Nasdaq

    15 282,01
    -319,49 (-2,05 %)
     
  • S&P 500

    4 967,23
    -43,89 (-0,88 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2370
    -0,0068 (-0,55 %)
     

Ouicar, Getaround... La fiscalité va-t-elle signer la mort de l'autopartage ?

Vente de voiture
Vente de voiture

C’est une des solutions possibles à l’engorgement des villes par les automobiles, qu’elles circulent ou restent stationnées dans l’espace public. L’autopartage entre particuliers permet à tout à chacun de louer sa voiture personnelle sur des plateformes numériques spécialisées. En France, deux se partagent le marché : Ouicar et Getaround. Sur le papier, tout le monde est gagnant : le locataire, qui peut accéder facilement à une voiture en fonction de ses besoins ; le loueur, qui rentabilise son véhicule quand il ne s’en sert pas ; et la plateforme bien sûr, qui prélève une commission de l’ordre de 30% du prix de location. Dans les faits toutefois, les loueurs particuliers se plaignent de la faiblesse des recettes qu’ils tirent de cette activité. En cause notamment : la fiscalité qui pèse sur ces revenus.

Les revenus tirés de l’autopartage doivent être déclarés dès le premier euro à l’administration fiscale. Là où le bât blesse, c’est qu’ils doivent être déclarés brut, c’est-à-dire en incluant la commission payée à la plateforme pour le service de mise en relation : de l’argent, donc, que les loueurs ne touchent pas. Résultat : « Quand vous avez payé l’assurance, l’entretien, le nettoyage, l’usure des pneus, les réparations de la voiture et que vous payez des impôts dont une partie sur 30% de recettes que vous n’avez pas touchées, il ne vous reste plus grand-chose », résume dans Le Parisien Frédéric Velez, président de l’Union nationale des acteurs de l’autopartage et mobilités (Unaam), qui pointe le risque de dissuader les particuliers et donc de freiner l’essor de l’autopartage en France.

Lire la suite sur MoneyVox

Voir également
- Impôt : que risquez-vous en cas de retard de déclaration ?
- Impôts 2021 : date limite mardi 1er juin, mais pour qui ?
- Pôle emploi : 900 euros d'aide exceptionnelle, mais pour qui ?