Publicité
La bourse ferme dans 6 h 32 min
  • CAC 40

    8 249,28
    +44,47 (+0,54 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 100,43
    +18,69 (+0,37 %)
     
  • Dow Jones

    39 760,08
    +477,75 (+1,22 %)
     
  • EUR/USD

    1,0779
    -0,0050 (-0,46 %)
     
  • Gold future

    2 218,10
    +5,40 (+0,24 %)
     
  • Bitcoin EUR

    65 491,22
    +477,77 (+0,73 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    81,86
    +0,51 (+0,63 %)
     
  • DAX

    18 506,23
    +29,14 (+0,16 %)
     
  • FTSE 100

    7 970,98
    +39,00 (+0,49 %)
     
  • Nasdaq

    16 399,52
    +83,82 (+0,51 %)
     
  • S&P 500

    5 248,49
    +44,91 (+0,86 %)
     
  • Nikkei 225

    40 168,07
    -594,66 (-1,46 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2594
    -0,0044 (-0,35 %)
     

Orpea : l'énorme rémunération de trois directeurs à temps partiel

Les révélations sur l’affaire Orpea n’en finissent plus. Mercredi 18 mai, Mediapart a révélé l’existence d’une structure parallèle au groupe privé de maisons de retraite qui a accumulé 92 millions d’actifs et mené des opérations financières "douteuses". Après la publication de l’article, le titre de la société a chuté de 13 % en Bourse. Le lendemain, la cellule investigation de Radio France en rajoute une couche et révèle cette fois les rémunérations surprenantes de trois directeurs du groupe embauchés à temps partiel. Il s’agit des trois hommes qui étaient encore récemment à la tête de la centrale d’achats suisse Kauforg, qui se chargeait notamment de commander jusqu'à fin 2020 les produits alimentaires qui composaient les repas de résidents des 400 établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) en France.

Selon Radio France, ces trois hommes étaient tous salariés du siège d’Orpea à Puteaux (Hauts-de-Seine), et cumulaient en plus un contrat à tiers-temps dans la société suisse Kauforg. Sur celui-ci, que la cellule d’investigation a pu consulter, on découvre que le directeur des achats et le directeur des services informatiques – dans le groupe depuis plus de quinze ans – percevaient un salaire annuel de 150.000 CHF brut (soit 143.000 €) par an, auquel s'ajoutait un bonus annuel de la même somme. Le contrat précise par ailleurs sur ce bonus que l'employeur pouvait "librement décider de dépasser le plafond en cas de performance exceptionnelle de l’employé". (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Veolia va profiter du rachat de Suez : le conseil Bourse
Le transporteur aérien IAG finalise la commande de 50 Boeing 737 MAX
Valneva se rapproche d'une autorisation de son vaccin en Europe et bondit en Bourse
Bernard Arnault contestait l’ISF à la sauce Hollande, la cour d’appel le déboute
Royaume-Uni : des centaines de restaurants emblématiques pourraient fermer