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Nucléaire iranien : entre les Occidentaux et Téhéran, la quête d'un accord reste très incertaine

© Sipa

C'est le casse-tête de la diplomatie occidentale depuis près de vingt ans, porteur d'une menace de guerre qui serait dévastatrice pour le Moyen-Orient et une bonne partie du reste du monde. Lundi, à Vienne, les négociateurs des puissances qui ont signé en juillet 2015 l'accord de démantèlement du programme nucléaire iranien (JCPOA) se retrouvent après cinq mois de suspension. La partie iranienne avait interrompu les discussions pour cause d'élection présidentielle iranienne en juin et de formation d'un nouveau gouvernement en août. Mais compte tenu du changement de majorité, désormais dominée par les conservateurs du président Ebrahim Raïssi, les revendications sont devenues plus dures à Téhéran.

Violations et refus des contrôles

Entre-temps, l'Iran a continué de violer les dispositions de l'accord de 2015, sous prétexte que le pacte avait été déchiré par le président Donald Trump en 2018. "Ils sont dans la logique du fait accompli, ils ont continué d'enrichir de l'uranium jusqu'à 60% et ont dégradé sérieusement les garanties de surveillance qui étaient promises aux inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique [AIEA], assure un cadre diplomate européen. Plus ils avancent, plus il est difficile de revenir à la base des discussions du printemps dernier." Pour les États-Unis de Joe Biden, qui se sont engagés à revenir dans l'accord à condition que l'Iran se conforme de nouveau à ses obligations, c'est une course contre la montre qui s'engage.

Comme l'a reconnu ce...


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