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Nokia compte supprimer au moins 5 000 emplois d’ici à 2023

La façade d'un bâtiment Nokia, en Californie (États-Unis).
La façade d'un bâtiment Nokia, en Californie (États-Unis).

Nokia envisage une restructuration d'envergure. L'équipementier télécoms finlandais pense supprimer entre 5 000 et 10 000 emplois d'ici deux ans, soit jusqu'à 11 % de ses effectifs. Cette restructuration doit se traduire par un groupe de « 80 000 à 85 000 employés d'ici 18 à 24 mois, contre environ 90 000 chez Nokia aujourd'hui. Le nombre exact dépendra de l'évolution du marché dans les deux ans à venir », écrit l'entreprise dans un communiqué.

Après le rachat de son concurrent franco-canadien Alcatel-Lucent en 2016, les effectifs du groupe, qui est sorti en 2013 de son activité historique de fabrication de téléphones mobiles, étaient repassés au-dessus des 100 000. Des réductions d'effectifs et d'importantes réductions de coût sont déjà en cours, notamment en France, où Nokia est en train de supprimer dans la douleur un millier d'emplois hérités d'Alcatel-Lucent.

Numéro 3 mondial des réseaux de cinquième génération 5G, le groupe dirigé depuis août par Pekka Lundmark lutte pour rester au contact de ses principaux concurrents, le suédois Ericsson et surtout le chinois Huawei. « Des décisions qui ont un impact potentiel sur nos employés ne sont jamais prises à la légère. S'assurer que nous avons la bonne configuration et les bonnes capacités est un pas nécessaire pour fournir une performance durable de long terme », a plaidé dans le communiqué le PDG, qui a fait de la 5G la priorité absolue de Nokia.

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