Publicité
La bourse ferme dans 8 h 23 min
  • CAC 40

    7 615,41
    0,00 (0,00 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 943,38
    +108,08 (+2,24 %)
     
  • Dow Jones

    42 025,19
    +522,09 (+1,26 %)
     
  • EUR/USD

    1,1182
    +0,0016 (+0,15 %)
     
  • Gold future

    2 631,00
    +16,40 (+0,63 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 001,23
    +1 525,50 (+2,75 %)
     
  • XRP EUR

    0,53
    +0,00 (+0,93 %)
     
  • Pétrole WTI

    71,80
    -0,15 (-0,21 %)
     
  • DAX

    19 002,38
    +290,89 (+1,55 %)
     
  • FTSE 100

    8 328,72
    0,00 (0,00 %)
     
  • Nasdaq

    18 013,98
    +440,68 (+2,51 %)
     
  • S&P 500

    5 713,64
    +95,38 (+1,70 %)
     
  • Nikkei 225

    37 723,91
    +568,58 (+1,53 %)
     
  • HANG SENG

    18 210,78
    +197,62 (+1,10 %)
     
  • GBP/USD

    1,3334
    +0,0049 (+0,37 %)
     

«Never quitting» : quand les salariés finissent par craquer

F8 Slava UKRAINI/Adobe Stock

Heures supplémentaires qui débouchent sur des nuits blanches, stress de tous les instants... Les stagiaires et les jeunes diplômés sont souvent confrontés à des exigences professionnelles excessives. Certaines grandes entreprises et banques d'affaires considèrent que leurs jeunes employés doivent être disponibles 24/24, ce qui peut avoir des conséquences graves sur leur santé physique et mentale. Ce phénomène, connu sous le nom de «never quitting» («ne jamais arrêter» en français), peut avoir des conséquences dramatiques sur la santé, allant jusqu'au burn-out et même au «karoshi», terme japonais désignant la mort à la suite d'un excès de travail, rapporte le site spécialisé links-consultants.

Une étude publiée en 2018 par la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences citée par Les Échos a mis en évidence une accumulation anormale dans le cerveau de la protéine bêta-amyloïde - protéine impliquée dans la maladie d'Alzheimer - après une seule nuit sans dormir. Le sommeil, un besoin biologique vital, est trop souvent sacrifié au nom de la productivité. Une autre étude, menée par l'Assistance publique des hôpitaux de Paris, a démontré un lien direct entre la surcharge de travail et le risque d’accidents vasculaires cérébraux. Les personnes qui, de façon régulière, passent plus de dix heures par jour à travailler ont 29 % de risque supplémentaire d’être victimes d’un AVC.

Certains jeunes travailleurs acceptent ces conditions de travail extrêmes, parfois portés par (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Voici les salaires des 10 métiers que les recruteurs s’arrachent à la rentrée 2024
Fin des vacances : comment gérer les mails qui se sont accumulés ?
Rupture conventionnelle : voici les cas pour lesquels vous êtes exonérés d’impôts
Carrière : connaissez-vous le «plancher collant» qui freine les femmes ?
Heures sup : mon patron ne veut pas me les payer, que faire ?