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"Je ne suis pas blonde moi" : la pique de Julien Odoul que Florence Portelli n'a pas laissé passer

L'élue Florence Portelli a repris mardi sur LCI Julien Odoul, qui lui a coupé la parole avec une phrase qu'elle juge sexiste.

Florence Portelli réclame une réaction des leaders du Rassemblement national. Mardi 13 avril, la maire de Taverny (Val-d'Oise) et vice-présidente du conseil régional d'Île-de-France chargée de la Culture a été interrompue par Julien Odoul sur le plateau de LCI lors d'un débat sur les violences en Essonne. Alors qu'elle avait la parole, le candidat RN aux élections régionales en Bourgogne Franche-Comté a lancé à l'ancienne membre Les Républicains «Je ne suis pas blonde moi» avant d'être recadré par son interlocutrice. «Je ne suis pas blonde moi? Wahou, donc comme Marine Le Pen alors, a-t-elle répliqué. C’est grave hein, bravo le sexisme (...) Je suis bête, la grande classe».

Sur Twitter, Florence Portelli a partagé cet extrait de l'émission «Le Grand Soir», se disant «indignée par le sexisme» du conseiller municipal de Sens (dans l'Yonne) qui rappelle selon elle «le vrai visage de l'extrême-droite rétrograde et misogyne». De son côté, Julien Odoul a répliqué en dénonçant ce qu'il qualifie de «tentative de récupération bête et méchante» de la membre du mouvement Soyons libres et l'accusant de «transformer un trait d’humour populaire (souvent utilisé par les filles) en crime contre la condition féminine». «Vos indignations capillotractées sont des combats de géants à l’ombre des pissenlits», a-t-il insisté.


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