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Mini crédit de 600 euros : l'UFC-Que Choisir dépose plainte pour pratique trompeuse

Homme consultant son smartphone en faisant ses courses
Homme consultant son smartphone en faisant ses courses

Emprunter 200, 500, 600 voire 1 000 euros du tac au tac, en quelques clics et une dizaine de minutes, à condition de rembourser en moins de 3 mois. Voilà la promesse, d’apparence souple et pratique, des nouveaux acteurs tels que Cashper, Blang, Finfrog mais aussi Lydia ou Floa Bank (ex Banque Casino).

« Ces prêts sont présentés comme sans danger. Ils fonctionnent comme une avance sur salaire, décrit l’UFC-Que Choisir. En général, l’échéance de remboursement est prélevée lorsque l’emprunteur perçoit ses revenus. » Quand tout se passe bien, la promesse est tenue. Problème : « S’ils sont mal distribués, ils l’exposent comme n’importe quel crédit au malendettement ainsi qu’à des impayés susceptibles de fragiliser encore davantage son budget », poursuit l’association de consommateurs, qui souligne que la réglementation n’encadre pas ces minicrédits comme un prêt conso classique, « ce qui laisse libre cours aux dérives ».

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