Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    39 768,03
    +7,95 (+0,02 %)
     
  • Nasdaq

    16 381,84
    -17,69 (-0,11 %)
     
  • Nikkei 225

    40 168,07
    -594,66 (-1,46 %)
     
  • EUR/USD

    1,0800
    -0,0029 (-0,27 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • Bitcoin EUR

    65 496,50
    +1 508,98 (+2,36 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • S&P 500

    5 251,94
    +3,45 (+0,07 %)
     

McDonald's ne scindera pas ses actifs immobiliers

par Lisa Baertlein

(Reuters) - McDonald's ne se séparera pas de ses actifs immobiliers pour les regrouper au sein d'une société d'investissement (REIT) ad hoc, a déclaré mardi le directeur général Steve Easterbrook, à l'occasion d'une rencontre avec les investisseurs.

Le leader mondial de la restauration rapide a également augmenté son dividende de 5%, à 89 cents par action au quatrième trimestre contre 85 cents, et confirmé qu'il anticipait des ventes positives à périmètre comparable au quatrième trimestre, pour l'ensemble de ses segments d'activité.

Pour l'exercice 2016, McDonald's projette une croissance globale des ventes de 3% à 5%.

PUBLICITÉ

L'agence Standard & Poor's a annoncé qu'elle déclassait la note de McDonald's à BBB+, assortie d'une perspective stable, en raison du projet de la chaîne de restituer plus de capital à ses actionnaires.

L'action ne gagnait plus que 0,2% à 113,12 dollars à une heure de la clôture, dans des échanges étoffés, après avoir inscrit un record de 114,99 dollars en séance.

Un rebond des ventes trimestrielles a éloigné pour McDonald's la perspective de devoir scinder ses actifs immobiliers, qui constituent historiquement une partie importante de ses activités.

Les loyers collectés auprès des franchisés ont augmenté de 26% de 2009 à 2014. Ils ont représenté plus de 22% du chiffre d'affaires l'an passé.

Après en avoir discuté en profondeur, le groupe a jugé que scinder ces actifs ne répondrait pas au mieux aux intérêts des actionnaires, les avantages éventuels d'une telle manoeuvre n'allant pas de soi et les risques étant trop grands, a expliqué Steve Easterbrook.

(Wilfrid Exbrayat pour le service français)