Publicité
La bourse ferme dans 4 h 53 min
  • CAC 40

    8 031,95
    -59,91 (-0,74 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 957,96
    -31,92 (-0,64 %)
     
  • Dow Jones

    38 460,92
    -42,77 (-0,11 %)
     
  • EUR/USD

    1,0730
    +0,0029 (+0,27 %)
     
  • Gold future

    2 338,10
    -0,30 (-0,01 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 218,93
    -2 691,60 (-4,35 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 352,14
    -30,44 (-2,20 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,85
    +0,04 (+0,05 %)
     
  • DAX

    17 969,41
    -119,29 (-0,66 %)
     
  • FTSE 100

    8 087,97
    +47,59 (+0,59 %)
     
  • Nasdaq

    15 712,75
    +16,11 (+0,10 %)
     
  • S&P 500

    5 071,63
    +1,08 (+0,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 628,48
    -831,60 (-2,16 %)
     
  • HANG SENG

    17 284,54
    +83,27 (+0,48 %)
     
  • GBP/USD

    1,2515
    +0,0052 (+0,42 %)
     

Macron envisage de revenir sur le non-cumul des mandats

Emmanuel Macron à Vierzon (Cher), le 7 novembre 2021.  - Ludovic MARIN / AFP
Emmanuel Macron à Vierzon (Cher), le 7 novembre 2021. - Ludovic MARIN / AFP

En déplacement dans le Cher ce mardi, Emmanuel Macron a semblé vouloir revenir sur le non-cumul des mandat. "La question se pose pour les numéro un ou numéro deux de l'exécutif des petites villes", a-t-il lancé devant des journalistes.
Une idée que le chef de l'Etat avait déjà ébauchée au sortir de la crise des "gilets jaunes", durant laquelle il avait été reproché aux élus d'être coupés des territoires.

Une proposition rejetée par l'Assemblée

Elle est partagée par le Premier ministre Jean Castex, qui parle d'un "aménagement" du non-cumul.

En vertu de la règle votée sous François Hollande, les parlementaires ne peuvent plus être maires, adjoints, présidents ou vice-présidents d'intercommunalité, de conseil départemental et encore de conseil régional. En novembre, une proposition de loi pour permettre de nouveau un cumul entre un mandat de député et de maire de petite ville, déposée par l'opposition, avait cependant été rejetée en commission à l'Assemblée nationale par LREM et la gauche.

PUBLICITÉ

"Il y a avait beaucoup de cumuls, c'est vrai", "le président Hollande l'a fait car le débat était très mûr dans la société, les gens critiquaient le cumul", a rappelé Emmanuel Macron.

"Ne pas être coupé" du terrain

"Ici la situation n'est plus la même et ce ne serait pas absurde" de revenir dessus "car c'est difficile pour les maires après de relayer au niveau national et les députes ont envie d'avoir des responsabilités exécutives", a-t-il poursuivi.
"Il ne faut pas donner le sentiment que les maires sont coupés de la décision nationale. Quand ils étaient députés ou sénateurs, ils relayaient au niveau national les choses et réciproquement, il y avait un va-et-vient", a-t-il relevé. "Aujourd'hui l'action de l'Etat est portée par les préfets. Ils réunissent les maires mais ceux-ci ont le sentiment d'être moins acteurs, il faut veiller à les associer beaucoup plus", a conclu Emmanuel Macron.

Article original publié sur BFMTV.com