Les métavers ont-ils un intérêt pour le grand public ?
C’est un nouveau mot encore absent du dictionnaire, mais qui fait de plus en plus parler de lui : le métavers. Cet univers virtuel, parfois en 3D, présente encore des contours flous et suscite de nombreuses interrogations. À quoi sert-il ? Comment fonctionne-t-il concrètement ? Ne constitue-t-il pas un nouvel aspirateur à données personnelles au service de géants de la tech ? N’est-ce pas une technologie inutile qui entraîne une consommation phénoménale d’énergie ?
Philippe Cassoulat, co-auteur de l'ouvrage "Métavers, NFT : décrypter le nouveau monde" et président de l’Observatoire des métavers, répond à toutes ces questions, sans pour autant pouvoir tout expliquer sur ces univers technologiques encore en construction. Son observatoire, lancé le 28 juillet 2022, compte “analyser le développement sociétal et professionnel des métavers”. Il réunit des acteurs publics et privés parmi ses membres fondateurs : outre le cabinet de conseil en innovation Talan, dont Philippe Cassoulat est le directeur général, figurent Bpifrance, le groupe La Poste, La Mutuelle Générale et l’entreprise Devinci Executive Education.
Une trentaine de demandes d’adhésion à l’observatoire sont par ailleurs à l’étude.
Rappelons qu’il convient de parler plutôt des métavers que du métavers, plusieurs de ces mondes virtuels existant déjà. Parmi eux, certains reposent sur la technologie de la blockchain, ce qui permet un fonctionnement décentralisé au sein duquel les données ne sont pas contrôlées par un seul et (...)
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