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Lyon : et maintenant, tourner la page

so foot

Humilié dans son antre par le PSG ce dimanche soir (1-4), l’OL a l’occasion de se remettre à l’endroit lors de la trêve internationale. Faute de quoi il pourrait rester au fond du classement plus longtemps que prévu.

La claque reçue ce dimanche soir face au PSG (1-4) n’est que le résultat d’un été morose. Avant la partie, la plupart des amateurs de notre Ligue 1 ne donnaient pas cher de la peau de l’Olympique lyonnais, qui traverse sa pire crise dans ce millénaire. Et même si l’OL nous a déjà habitués à se transcender dans les grands rendez-vous ces dernières années, les Rhodaniens n’ont jamais été aussi peu surprenants que ce dimanche soir, avec l’humiliation de regagner les vestiaires en étant menés 4-0 à la pause, chez eux. S’ils ont récolté la bronca du Groupama Stadium, ce sont aussi eux qui se sont fait gronder par le capo des Bad Gones, après le coup de sifflet final. « On ne demande qu’une seule chose : être à vos côtés. Mais pour ça, il va falloir que vous le méritiez ! […] On attend de vous que vous vous arrachiez sur le terrain. Et que si on doit prendre des pilules, ce soit la tête haute », a envoyé le leader, devant une banderole stipulant que « s’il existe des leaders dans ce vestiaire, ils n’ont plus le droit de se taire ».

Le summum de la crise

Ce sont donc les joueurs, il est vrai balayés sur le terrain, qui ont reçu toute la colère des travées. Pendant que Jean-Michel Aulas – pas innocent dans ce déclassement – était en loges, et que John Textor, Labor Day oblige, ignorait ces soucis, de l’autre côté de l’Atlantique. Ce qui n’enlève en rien l’affreux premier acte que les Rhodaniens ont livré. « C’est inadmissible. On n’a pas montré de caractère. On s’est fait marcher dessus pendant 45 minutes », a pesté Anthony Lopes au micro de Prime Video après la rencontre. À la pause, les BG87 ont aussi dégainé une banderole visant leur coach : « Laurent Blanc, si tu n’as plus les couilles de te battre, démissionne ». « Dans notre situation, il n’y a pas qu’un seul responsable », a vaguement répondu sur Prime la personne visée, qui a tout même reconnu comprendre la gronde. Cette mi-temps a finalement été le summum d’une crise qui s’installe aussi en septembre entre Rhône et Saône : « On ne peut pas revenir en arrière. Le mal a été fait, on a fait un mois d’août catastrophique. Un point sur quatre matchs, ce n’est pas digne de l’Olympique lyonnais », a constaté le gardien du cru.…

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