Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 022,41
    -0,85 (-0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,09
    -18,48 (-0,37 %)
     
  • Dow Jones

    37 986,40
    +211,02 (+0,56 %)
     
  • EUR/USD

    1,0661
    +0,0015 (+0,14 %)
     
  • Gold future

    2 406,70
    +8,70 (+0,36 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 875,09
    +311,44 (+0,52 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 373,23
    +60,60 (+4,62 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,24
    +0,51 (+0,62 %)
     
  • DAX

    17 737,36
    -100,04 (-0,56 %)
     
  • FTSE 100

    7 895,85
    +18,80 (+0,24 %)
     
  • Nasdaq

    15 282,01
    -319,49 (-2,05 %)
     
  • S&P 500

    4 967,23
    -43,89 (-0,88 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2370
    -0,0068 (-0,55 %)
     

Lyon : un bailleur condamné pour avoir expulsé des squatteurs avant la date légale

PIXABAY

Elle n'en revient pas. La gestionnaire d’un immeuble situé dans le quartier des Tuileries, dans le 9e arrondissement de Lyon (Rhône), a été condamnée à verser 6.000 euros de dommages et intérêts, dont 2.000 euros pour chaque squatteur qui avait investi son bien en juillet 2021, indique Le Progrès le mardi 14 mars. Ils ont obtenu gain de cause car le tribunal judiciaire a relevé que la propriétaire a repris possession des lieux avant le 31 mars, date de la fin de la trêve hivernale, qui protégeait les deux squatteurs.

Ces derniers avaient attaqué la SNC "La Belle et le Clochard", propriétaire des lieux, le 23 janvier dernier après avoir constaté que la société avait profité de l’absence des deux individus pour condamner l’entrée et placer l’immeuble sous surveillance. Le couple, un serrurier et une professeure des écoles, avait alors dénoncé une "violation de domicile" avant de saisir la justice.

De son côté, la SNC "La Belle et le Clochard" réclamait la condamnation des squatteurs pour procédure abusive ainsi que la remise en état de l’immeuble saccagé avec des tags et des murs porteurs détruits, une demande déboutée par le tribunal judiciaire.

Pire encore, comme l'indique Le Progrès, la SNC a été condamnée à verser 2.000 euros de dommages et intérêts aux squatteurs. Une décision incompréhensible pour la propriétaire de l’immeuble, son bien ayant été occupé sans droit ni titre. Le tribunal a toutefois refusé la requête supplémentaire des jeunes squatteurs, qui exigeaient qu’on (...)

PUBLICITÉ

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Loi zéro artificialisation nette : “Il faut limiter les surfaces constructibles, mais en adaptant la loi”
Bientôt de nouvelles propositions chocs pour dynamiser le secteur du logement ?
Ils utilisent les ailes d'un Boeing 747 pour le toit de leur maison de luxe, voici combien ils ont dépensé
Donation, succession : quelle est la meilleure stratégie pour transmettre sa résidence principale ?
Copropriété : quelle autorisation pour tomber un mur porteur ?