Publicité
La bourse ferme dans 8 h 7 min
  • CAC 40

    8 078,08
    +37,72 (+0,47 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 976,43
    +39,58 (+0,80 %)
     
  • Dow Jones

    38 239,98
    +253,58 (+0,67 %)
     
  • EUR/USD

    1,0661
    +0,0005 (+0,04 %)
     
  • Gold future

    2 318,70
    -27,70 (-1,18 %)
     
  • Bitcoin EUR

    62 264,66
    +148,70 (+0,24 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 399,35
    -15,40 (-1,09 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,02
    +0,17 (+0,21 %)
     
  • DAX

    18 023,80
    +163,00 (+0,91 %)
     
  • FTSE 100

    8 066,26
    +42,39 (+0,53 %)
     
  • Nasdaq

    15 451,31
    +169,30 (+1,11 %)
     
  • S&P 500

    5 010,60
    +43,37 (+0,87 %)
     
  • Nikkei 225

    37 552,16
    +113,55 (+0,30 %)
     
  • HANG SENG

    16 792,63
    +280,94 (+1,70 %)
     
  • GBP/USD

    1,2346
    -0,0004 (-0,03 %)
     

LVMH réplique à Tiffany et porte plainte contre le joaillier

Une enseigne du joaillier Tiffany,  à Paris (photo d'illustration).
Une enseigne du joaillier Tiffany, à Paris (photo d'illustration).

Dans son bras de fer contre le joaillier Tiffany, LVMH s'embarque dans une croisade judiciaire. Le groupe de luxe français a officiellement déposé une plainte auprès de la Cour de justice du Delaware, lundi 28 septembre, selon un communiqué publié mardi. « Le groupe est confiant dans sa capacité à démontrer que les conditions de réalisation de l'acquisition ne sont pas réunies et que les arguments fallacieux soutenus par Tiffany sont totalement infondés », poursuit le communiqué.

Selon le groupe français, « la pandémie, dont les effets pour Tiffany sont catastrophiques et durables, constitue indéniablement une situation significativement défavorable. Cette clause suffit à empêcher la réalisation de l'opération ». Il accuse également le groupe américain d'avoir payé un dividende élevé au moment où l'entreprise voyait ses liquidités fondre et subissait des pertes.

Un procès en janvier 2021

LVMH avait annoncé début septembre n'être « plus en mesure » de racheter, comme prévu, le joaillier pour 16,2 milliards de dollars, en raison notamment d'une lettre du ministre des Affaires étrangères français lui demandant de différer l'acquisition au regard de la guerre commerciale en cours avec les États-Unis. Tiffany avait aussitôt riposté en accusant LVMH, devant un tribunal du Delaware, d'avoir fait traîner des démarches réglementaires pour ne pas avoir à honorer ses engagements et pour faire baisser le prix d'acquisition.

Le groupe du milliardaire Bernard Arnault avait [...] Lire la suite