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LVMH : des marges au sommet

Impressionnant ! Le leader mondial du luxe est quasiment insensible à un environnement mondial pourtant très perturbé. Malgré la baisse de la confiance des ménages dans les pays occidentaux, la flambée des prix de l’énergie, la guerre en Ukraine et les confinements en Chine, l’activité commerciale de LVMH a progressé de 21% au premier semestre, à données comparables. En présentant un chiffre d’affaires de 36,7 milliards d’euros, le groupe dirigé par Bernard Arnault dépasse une nouvelle fois les anticipations des analystes. Toutes les activité sans exception ont contribué à cette forte croissance, la branche Mode et Maroquinerie (49% des ventes et 73% du résultat opérationnel du groupe) étant la plus dynamique (+24%) grâce aux bonnes performances de Louis Vuitton et de Christian Dior. Sur la période, LVMH a surtout profité de la forte progression de la demande en Europe (+47%), au Japon (+33%) et aux Etats-Unis (+24%). En zone Asie hors Japon (+1%), l’activité a été perturbée au deuxième trimestre (-8%) par les restrictions sanitaires appliquées en Chine. Interrogés par les analystes sur la dynamique des ventes dans le pays au second semestre, les dirigeants de LVMH jugent que la demande pourrait rebondir très vite avec l’arrêt les confinements. Malgré cet accroc dans un tableau d’ensemble quasiment parfait, LVMH a encore amélioré sa profitabilité, le taux de marge opérationnelle grimpant de 1,3 point, à 27,9%. Sur la période, les dirigeants n’ont pas hésité à augmenter les prix notamment sur les produits des grandes marques de la branche mode et maroquinerie. Par ailleurs, la croissance des volumes sur une base de coûts en moindre progression ainsi qu’un effet de change positif ont aussi contribué à l’amélioration des marges. Position dominante Fort d’une empreinte géographique relativement bien équilibrée, profitant d’une demande globale toujours Cliquez ici pour lire la suite