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Lucas : sa mère demande à ses harceleurs de reconnaître les faits et ne veut « pas qu’on l’oublie »

© PATRICK HERTZOG / AFP

Depuis le suicide du jeune Lucas le 7 janvier dernier, après le harcèlement subi pour son homosexualité, sa mère dénonce la violence de ses camarades et la non-réaction de l’établissement scolaire. Elle a estimé, lors d’une conférence de presse organisée à Épinal lundi , que ce harcèlement avait été « l’élément déclencheur » de son passage à l’acte.

Alors que quatre collégiens seront jugés au printemps pour avoir harcelé et poussé Lucas, 13 ans, au suicide, la mère de Lucas a insisté pour qu’ils soient « protégés », car « ça reste des gamins ». Néanmoins, « je suis quand même obligée de leur en vouloir, mon fils nest plus là » parce qu’ils « ont été méchants avec lui », a ajouté Séverine.

L’établissement scolaire a failli à son devoir

Cette dernière a souhaité que leur comparution devant la justice les fasse « réfléchir » et « quils mènent des actions derrière ». Elle a aussi indiqué vouloir intervenir dans des établissements scolaires pour sensibiliser contre le harcèlement : « Quand on ira faire des interventions, ça pourrait être bien quils interviennent avec nous » pour expliquer les conséquences de ce « quils ont fait ». « Si je pouvais aider les autres avec leur ressenti à eux, ça serait une victoire de plus, un pas en avant pour faire réfléchir tout le monde », a-t-elle ajouté.

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Néanmoins, pour Séverine, « le corps enseignant aurait...


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