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Louis de Funès, le maestro du rire

Il nous a réconfortés pendant le confinement, battant des records d'audience avec les rediffusions de ses films cultes à la télévision. À partir du 15 juillet, c'est la Cinémathèque française qui déroule le tapis rouge à Louis de Funès, avec une rétrospective enfin à la hauteur de ce génie comique inégalé mais rarement récompensé durant sa carrière. Dans une scénographie à la fois pédagogique, ludique et dynamique, l'institution lui rend un vibrant hommage avec un parcours pluridisciplinaire foisonnant, une caverne d'Ali Baba pour les fans : au milieu des photographies, des extraits et des affiches incontournables, on trouve des correspondances, des carnets, des scénarios, des accessoires et des costumes.

Parmi les pièces les plus spectaculaires, ne manquez pas la 2CV éparpillée du Corniaud (1965), la DS de Fantômas (1964), la combinaison d'extraterrestre portée par Jacques Villeret dans La Soupe aux choux (1981), la barbe de Rabbi Jacob (1973), le poulet fabriqué par l'usine Tricatel dans L'Aile ou la Cuisse (1976), les casques de La Grande Vadrouille (1966), la cassette de L'Avare (1980), mais aussi la statue de cire de l'acteur prêtée par le musée Grévin.

145 films

On est particulièrement ému en découvrant la valise contenant les courts métrages en 8 mm que Louis de Funès projetait à ses fils chez lui à Paris puis dans son château de Clermont (Loire-Atlantique), acheté en 1967 avec le cachet de La Grande Vadrouille. Avec les années, il s'était constitué une prestigieuse co...


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