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Lidl, Zara, H&M… ces marques sont accusées de payer leurs fournisseurs au Bangladesh moins que les coûts de production

Bambizoe/Flickr

Annulations de commandes, paiements à un prix inférieur au coût de production... Les grandes enseignes du textile au Royaume-Uni, qui se fournissent au Bangladesh, sont visées par un rapport qui pointe des pratiques contraires à l'éthique.

Les enseignes Lidl, Zara, H&M et Next, qui font fabriquer leurs vêtements au Bangladesh, paieraient leurs fournisseurs locaux à des tarifs si bas qu'ils ne permettraient pas de couvrir leurs coûts de production, selon une étude menée conjointement par l'Université d'Aberdeen et l'association britannique pour le commerce équitable Transform Trade entre mars 2020 et décembre 2021, dont The Guardian se fait l'écho, ce mercredi 11 janvier. Des chercheurs ont interrogé près de 1.000 usines du pays qui approvisionnent des enseignes d'Inditex (Zara, H&M, Next), Lidl, Tesco, Primark et d'Aldi au Royaume-Uni.

Selon leurs conclusions, les tarifs payés par ces grands groupes à leurs fournisseurs bangladais avaient été revus à la baisse pendant la crise sanitaire. Certaines commandes ont également été annulées. Depuis la fin des confinements, ces tarifs n'auraient jamais réaugmenté. Selon cette étude, 19 % des fournisseurs de Lidl, 11 % de ceux d'Inditex, 9 % de ceux de H&M et 8 % de ceux de Next auraient produit à perte pendant la période étudiée. Résultat, près d'une usine sur cinq a déclaré avoir eu du mal à payer leurs salariés au salaire minimum légal du pays, soit 2,59 euros par jour, rapporte Grocery Gazette, ce mercredi 11 janvier.

Autre fait à noter : malgré la hausse des coûts de production et des matières premières que l'industrie du textile subit de plein fouet depuis la guerre en Ukraine, la majorité des fournisseurs de ces quatre marques, ainsi que de Tesco, de Primark, et d'Aldi, (...)

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